Lors de chaque « mue », après une migration, c’est elle qui se forme la première ; ensuite, elle « met au monde » tous les autres KALUNGAS, tâche harassante, mais ensuite, elle se repose. Très bavarde, on la voit toujours en conversation avec tel ou tel. Excellente conteuse, elle détient une part de la tradition orale des KALUNGAS. « Arrivée la première « il semble qu’elle conserve des bribes de souvenirs de la migration passée, ce qui n’est le cas, hormis Kuma, d’aucun autre de sa race.